Ni loup ni chien
Kent Nerburn
Résumé
du Dakota américain d'aujourd'hui.
Préface de Robert Plant
Illustrations de Baudoin
Dan, un vieil Indien lakota, veut écrire un livre sur son histoire et celle de son peuple. Pour ce faire, il contacte l'écrivian Kent Nerburn. Tout au long de l'expédition, qui les mène des villes délabrées des réserves indiennes jusqu'au monument historique érigé en l'honneur de Sitting Bull en passant par les prairies infinies du Dakota, Dan se livre. Tantôt incité par la situation, tantôt par un lieu, un acte ou une parole, il tisse son histoire et celle de son peuple avec une verve étonnante. Empreints de spiritualité et de douleur, mais aussi d'humour, ces récits se situent à la frontière littéraire entre les mémoires, la philosophie et l'anthropologie. Ni loup ni chien, qui retrace le destin d'un vieil Indien lakota et de ses ancêtres, est une histoire à la fois intime et universelle revenant sur la façon – douloureuse, vorace et violente – dont les États-Unis se sont construits, histoire racontée avec simplicité, honnêteté, rage et humour. Ce n'est pas un livre sur la spiritualité indienne – même s'il en est pétri – mais bien un dialogue véridique, fougueux et réconciliateur, dont Robert Plant, l'un des membres du groupe Led Zeppelin et grand voyageur, clame qu'il en a fait son " compagnon pour comprendre les États-Unis d'hier et d'aujourd'hui ".
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